Le jour de la rosée, verse l'aube lyrique
Et ses notes olfactives, qu'éparpille l'instant
S'évaporent mystiques, de nature angélique
Que cette fin d'hiver, ressemble à un printemps
Marivaudage tendre, s'en émeut le lavoir
A l'eau qui dort se mêle, le chant des lavandières
Bouilloires dentelées, teintées de charbon noir
S'entrelacent les arbres, à frôler vos verrières
Vers les résines d'ambres, et l'écorce en sommeil
S'est enfiévrée ma joue, du secret d'être heureuse
Tubéreuses lumières, inclinant le soleil
Sur mes hanches en jupons, enfin le vent des fleurs
Ô j'en ferme les yeux, de candeur amoureuse
Les sèves d'or s'éveillent, où palpite mon coeur
Paule
Sonnet libre
18 Février 2022
Et ses notes olfactives, qu'éparpille l'instant
S'évaporent mystiques, de nature angélique
Que cette fin d'hiver, ressemble à un printemps
Marivaudage tendre, s'en émeut le lavoir
A l'eau qui dort se mêle, le chant des lavandières
Bouilloires dentelées, teintées de charbon noir
S'entrelacent les arbres, à frôler vos verrières
Vers les résines d'ambres, et l'écorce en sommeil
S'est enfiévrée ma joue, du secret d'être heureuse
Tubéreuses lumières, inclinant le soleil
Sur mes hanches en jupons, enfin le vent des fleurs
Ô j'en ferme les yeux, de candeur amoureuse
Les sèves d'or s'éveillent, où palpite mon coeur
Paule
Sonnet libre
18 Février 2022